Après la recréation de La Chambre Blanche, l’une de ses pièces les plus marquantes, Ginette Laurin propose la reprise de La Vie Qui Bat, dans sa version originale, une expérience unique où s’allient la danse et la musique.
La Vie Qui Bat est la pièce la plus formelle de la chorégraphe, sa première œuvre créée spécifiquement sur une musique. La chorégraphie, soutenue par un environnement monochrome et minimaliste, s’élabore dans un esprit de répétition, où la danse ne s’arrête jamais. Les corps vibrent aux pulsations de la musique répétitive de Reich, les mouvements des danseurs faisant écho à la trame sonore.